Presque deux ans en vase clos, c’est sans doute ce que devront supporter les colons martiens. Dans ce type de situation extrême, le moral des astronautes risque d’être mis à rude épreuve selon Charles Frankel. C’est pourquoi il faut, dès le recrutement, s’assurer de la solidité psychologique des candidats.Au-delà de ces enjeux, il existe aussi des obstacles biologiques, comme l’exposition des astronautes aux rayons cosmiques. Néanmoins, il semblerait, selon les dernières estimations, que cette dose reste dans des standards acceptables – à titre de comparaison, elle ne dépasserait pas celle reçue par un travailleur dans le nucléaire au cours de sa vie.© Futura-Sciences